Ethique
La kinésiologie peut s’envisager comme une approche éducative et préventive de santé telle que définie par l’OMS* et complémentaire à une intervention médicale ou paramédicale.
Le modèle médical, qui est réservé aux médecins, concerne la maladie. Nul en France, est mieux qu’eux n’est habilité et autorisé à répondre aux douleurs, infections, traumatismes, lésions et urgences. La médecine forme des médecins pour cela.
La Kinésiologie Spécialisée apporte un complément efficace aux compétences du professionnel qui l’utilise.
Lors des séances avec son kinésiologue, la personne prend davantage conscience de son potentiel. Elle devient responsable de ses progrès, de ses échecs et de ses réussites comme matière d’enseignements. Elle mobilise de nouveaux savoir-faire pour atteindre le meilleur état possible de bien-être physique, mental et social.
Dans un profond respect du rythme de la personne, le kinésiologue s’engage à toujours travailler avec ouverture et transparence.
Il se forme régulièrement, ceci lui permettant de pratiquer et d’enseigner ce qu’il a lui-même expérimenté.
Par commodité de langage, le terme seul de « Kinésiologie » est souvent employé pour « Kinésiologie Spécialisée ».
Ethique (Extrait du code éthique de la profession)
Je m'engage à :
- Travailler dans le respect total de la personne quels que soient son âge, sa condition, ses convictions.
- Laisser le client libre de ses choix.
- Respecter le secret professionnel sauf dérogations prévues par la loi.
- Réactualiser régulièrement mes compétences et faire appel à un superviseur chaque fois que nécessaire.
- Respecter mes confrères.
- Entretenir des rapports courtois et respectueux avec les autres professions.
- Respecter la législation française.
Le Kinésiologue Spécialisé n’établit aucun diagnostic médical, ne prescrit pas et ne traite pas. Il ne demande jamais de suspendre un traitement. La kinésiologie spécialisée n'est pas une médecine alternative.
* La définition proposée par l’Organisation Mondiale de la Santé dans la Charte d’Ottawa (1986) :« Un état complet de bien-être physique, mental et social et non pas seulement l’absence de maladie ou d’infirmité ». L’état de santé ne se résume donc pas au simple silence de nos organes.